∞Story of my life:Il y’a de nombreux mot pour décrire une histoire, pour la conter, pour l’expliquer, pour la chanter avec mélancolie…Mon histoire est remplie de mots, mais mon histoire est à la fois emplie de joie et emplie de tristesse.
Je suis née dans une petite maison, près d’une sombre forêt, je suis née à cause de la mort, j’ai ouvert mes petits yeux dans les bras d’un garçonnet de deux ans, mon aîné, mon frère ainée, mon courageux, adorable, doux et loyal frère.

Je ne connais guerre ce qui a pu se produire avant ma naissance, tout ce que je sais, tout ce dont je me souviens c’est qu’on vivait pauvrement mais simplement, que ma deuxième mère n’était pas très gentille, qu’elle préféré tout régenté dans la maisonnée, qu’elle préparé les repas et que mon père travaillait comme un forcené mais sans dire un mot sur ce qui pouvait se passer au sein de notre cocon familial.

Je n’avais que 3 petites années quand mon grand frère se mit a sortir la nuit, me demandant de surveiller les alentours, ils revenaient plus tard, essoufflé, fatigué, mais son regard pétillé de malice, il me tendais une poignée de confiserie. Un met sucré dont je pouvais me délecté avec malice, un sourire, un rire, une étincelle dans le regard, tout cela suffisait a mon frère pour être heureux. Quand il s’endormait, j’ouvrais mes yeux et songé a ses paroles, un mince sourire se dessiné sur mes lèvres.

« Tu sais Gretel, les fées de la forêt sont venue prendre maman pour lui assigner une mission spéciale c’est pour ça qu’elle est partie ! »

Alors je sourirais, je riais, je le regardais, je me lovais dans ses bras tel un petit chat. Je savais dans le fond que cette idées des fées c’était pour masquée le fait que ma mère était partie éclairé le ciel. J’avais beau être jeune, j’étais loin d’être stupide, si maman était en mission, jamais papa n’aurait pris quelqu’un d’autres.

Les années passèrent doucement, la maigreur, la faim, la survie tout cela bercé mon quotidien, je ne lâchais pas mon frère d’une semelle, un vrai pot de colle, après tout il était mon souffle de vie, il était le premier être de chair que j’ai vu à ma naissance et j’étais sa lumière, alors je devais rester près de lui quoi qu’il arrive. Un jour, je devais avoir 8 ans, mon frère me réveilla en tout début de journée, notre belle mère annonça qu’elle voulait jouer a un petit jeu avec nous. Ravie de voir qu’elle voulait enfin nous accepter tel qu’on était, je sortie avec joie dehors, nous entrèrent dans la forêt, mon frère toujours près de moi, puis au bout de quelques minutes, elle annonça que si on aller tout droit on trouverait une superbe surprise. Folle de joie et sans attendre ni même entendre mon frère ainé, je me mis à courir pour atteindre la surprise. Je riais tout en courant, mes petites jambes pleine de vitalité cessèrent toute activité quand je sentie une forte pression sur mon bras. Me stoppant net, je me retournais pour poser mon regard sur mon frère. Je fis glissé ma main dans la sienne tandis qu’on marcher rapidement, il suivait une piste jonché de petite sphère blanche, mais soudainement il cessa toute avancer, le visage blanc, blafard, triste, plus triste qu’autrefois, pour le moment je ne comprenais pas ce qui se passer, mais on repris notre folle marche durant des heures, trop d’heures, trop long, le froid me saisissais, la lumière partait doucement, la nuit tombe, et mon frère ne cessais pas de marché, alors je lui est tiré la manche, j’ai pris mon air le plus triste et le boudeur, j’ai minaudé que j’avais mal aux pieds, que je pouvais plus avancé. On se mit près d’un arbre et je me blottie dans ses bras, et je compris…j’avais mis du temps, j’avais nié cette pensées nauséabondes, mais il fallait voir la vérité en face…Alors je me mis a pleurer, a pleurer dans ses bras, contre lui, mais sans lutter contre le sommeil qui venaient de nous saisir de plein fouet.

Je fus éveillé par mon frère, il pointait du doigt une lueur au loin, les yeux encore gonflé de sommeil, je pris peine a me levé pour le suivre, il marché vite, et nous furent rapidement en face d’une maison…Pas n’importe qu’elle maison, une telle maison on n’en voit pas tout les jours et franchement je n’en avais jamais vu une comme celle-ci. Chocolat, guimauve, bonbon, gâteaux, sucres, crème, glaces…Des couleurs pastels, des odeurs délicates. Hansel me lâcha la main et se heurta à une boite aux lettres au chocolat. Je le regardais pendant qu’il manger, j’ai avancé doucement et brisa un volet que je portai a mes lèvres, un biscuit sucré orné de chocolat. Un bout, puis deux, puis trois, après le bout de volet, mon regard fut attiré par une mousse légère et blanche, sucré et douce, j’avalais cela sans vergogne. Soudainement la porte s’ouvrit et une vieille femme en sortie, prise de panique je me mis derrière mon frère. Mes yeux parcourait la femme sous toute ses coutures, elle était pleine de verrue, sa peau ressemblé a du vieux papier froissé, on pouvait voir ses os, ses cheveux étaient comme de la paille, sa bouche était édenté, pourrie, et j’étais sure qu’elle sentait mauvais de la bouche et d’ailleurs…Elle parla d’une bonne soupe, alors mon frère entra, mais je ne voulais pas y aller, je tenais un bout de vêtement de mon frère qui me tira presque à l’intérieur. Je n’ai pas compris ce qui se produisit, une fois à l’intérieur, une fois que la porte s’était refermé alors qu’Hansel regardait la table garni devant nous, je vis la vieille femme qui le poussa dans une cage et tandis qu’il criait, elle me prit par le bras, ce n’était pas des ongles mais des serres qui orné ses doigts osseux. Elle me jeta un regard mais fit taire mon frère en marmonnant des mots que je ne pouvais comprendre.

Elle riait et se délecté de ce qui se trouvait sur la table, puis elle me toisa sèchement, et me donna un balai, elle disait que si je n’étais pas sage, je finirais dans la même assiette que le cochon qui orné la table. Quand Hansel s’éveilla, elle lui lança des confiseries, elle lui ordonna de manger, de tout manger, elle voulait l’engraisser pour le dévorer. Pourquoi le garçon obéissait ? Parce que j’étais là…Parce qu’elle avait remarqué qu’il se montrer obéissant pour sa sœur, pour moi. Cela dura de nombreux jours, jusqu’au jour ou la vieille sorcière annonça qu’Hansel sera le diner du soir, prise d’une peur atroce, je tremblai doucement, jusqu’à ce que mon frère me fit venir vers lui et me murmura un plan. Alors que la sorcière coupé des légumes frais, elle m’ordonna de faire chauffé le four et de l’ouvrir pour mettre Hansel dedans.

« Je…je sais pas comment on fait » Dis je d’une petite voix triste.

Levant sa vieille tête vers moi, elle me vociféra un nombre incalculable d’insulte mais daigna me montrer comment procédé, le souffleur, le bois, le tisonnier puis elle inséra sa tête dans l’âtre brûlant, soudainement, je la poussais de toute mes forces et referma la porte d’un coup sec, puis je me revins vers mon aine et le libéra de ses entraves, nous prirent la fuite a toute jambes dans l’obscure forêt. Un bruit sourd d’explosion retentit et je compris que la sorcière s’était sauvé du four brûlant. On courrait encore et toujours, main dans la main quand soudainement le sol devient lumineux, une sorte de fissure devant nous, le choc de la lumière nous firent bondirent en arrière et je sentis la main de mon frère qui m’échappait, mes yeux apeurés cherché mon frère de part et d’autre mais alors que je gisais au sol, une masse sombre était devant moi.

« Ne bouge pas ma petite friandise, je vais m’occuper de ton frère et après je reviens » elle termina sa phrase par un rire malsain et partie.

Grossière erreur que de croire que j’allais resté sans bouger, j’ai pris la décision de rejoindre la dite lumière comme la sorcière car si elle y est aller pour mon frère alors je dois y aller aussi, mais j’eu a peine traversé que quelque chose engloba mon visage, les serres de la sorcière, elle fuyait quelque chose ou quelqu’un…Elle me jeta au sol et tourna sur elle-même comme si elle cherché quelque chose, soudainement une deuxième masse sombre arriva et percuta la sorcière, je ferma les yeux et soudainement plus rien, le noir absolue…

Quand je fus réveillé, je vis devant moi deux visages inconnus. Un homme et une femme, l’homme était corpulent et sentait la farine, tandis que la femme avait un visage plus doux, elle me souriait, me demanda si je comprenais ce qu’elle disait, si j’avais mal quelque part. J’hochais la tête pour la parole et je disais non pour la douleur, la seule douleur que j’avais été celle du cœur, mon frère…

« Hansel ou est tu ? » Murmurais-je alors que je m’endormais dans les draps écrus.

Au petit matin, je compris que je ne reverrais pas mon frère, j’avais était en quelque sorte adopté par ce couple, un couple simple, lui il se nommé Pierrick, il était boulanger et vendez ses biens au marché pour nourrir sa famille, quand à elle, Delhia, elle était couturière et crée ou réparer des tissus, des robes, des hauts, des bas, des chaussettes. Et quand elle ne faisait rien elle crée des petites tenues qu’elle vendait à son tour sur le marché mais cela était rare. La vie était chère, mais apparemment leurs train de vies leurs convenaient et je dois admettre que l’on prenait soin de moi de manière correcte sans fioritures. J’ai donc passé 10 ans avec eux, dix belles années ou j’ai connu d’autre gens au marché, malgré cela jamais mon père ne voulait que l’accompagne aux marchés pour vendre les pains.
Avec le temps je suis devenu un très belle jeune femme, du moins c’est ce que dit maman, mes cheveux bruns aux reflets quelque peut caramel, mes yeux sombres brillent intensément, des lèvres délicate, des formes assez avantageuses de telle sorte que je suis devenue une poupée pour ma nouvelle mère qui s’amuse a me mettre des vêtements qu’elle a crée pour mieux les vendre et le pire c’est que cela fonctionne. On passe de maison en maison pour présenter les créations de ma mère, parfois sa marche, parfois non…Elle m’a appris à coudre et je dois dire qu’avec un fil et une aiguille je peux faire beaucoup de chose. Mon nouveau père m’a appris à faire du pain et des pâtisseries et il m’a fallu du temps pour remanger quelque chose de sucrés.

J’ai 18 ans, et j’ai pris une décision, la première trouver des renseignements a gauches et a droite sur ces failles de lumières, et aussi je veux vendre aux marchés, je suis sure que je peux obtenir ce dont j’ai besoin en devenant la petite vendeuse de pain et pâtisserie du marché, de toute manière on m’a nommé la poupée boulangère, poupée pour la couture de ma mère  et boulangère pour le pain de mon père. Je n’ai pas une réelle réputation, mais parfois on entend parler de la poupée boulangère, et mes parents reçoivent beaucoup de demande pour donner leurs filles en mariages et a chaque fois je refuse ou je brule les lettres, car je ne veux personnes tant que je n’aurais pas trouvé la partie que j’ai perdu dans la lumière…Alors la poupée que je suis est prête a tout pour savoir et obtenir ce qu’elle veut !